Une vraie demeure du XVIIème siècle en plein coeur de Saint-Germain, entièrement repensée pour répondre aux exigences actuelles, sans rien perdre de son charme d’autrefois. Chic ! Les dalles de pierre lustrées par le temps, ses parquets Versailles, ses meubles d’époque, sa cheminée monumentale en pierre de Bourgogne et, noblesse oblige, ses véritables tapisseries d’Aubusson dans les pièces de réception, font de l’Hôtel d’Aubusson un lieu exceptionnel dont on voudrait presque garder l’adresse pour soi ou ne la partager qu’avec de fins connaisseurs du luxe à la française.
Pour les 49 chambres, junior suites, chambres Grand Luxe et duplex, un design moderne et élégant a été conçu par l’Agence Double G, créant un décalage original avec le reste de l’hôtel.
Et, merveilleuse surprise, toutes s’organisent autour de patios verdoyants, petits cocons bucoliques en plein coeur de Saint-Germain.
Mais l’Hôtel est aussi un lieu incontournable pour les amateurs de jazz, qui retrouvent au Café Laurent l’âme de Saint-Germain des prés. Et nous, nous aimons aussi y boire un dernier verre, en passant, tout simplement parce que le lieu est cosy, chaleureux, et que les cocktails y sont délicieux.
Jacques Lacoste est le grand spécialiste et expert de l’œuvre de Jean Royère. Les pièces qu’il présente sont évidemment exceptionnelles et il les accompagne toujours du design des années 40-50 qu’il affectionne : Serge Mouille, Alexandre Noll, Georges Jouve ou encore Pierre Szekely.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2010/06/b9290e513fa1cdc16e3432bf1b2cff041.jpg582500Clémenthttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngClément2014-10-10 19:01:392019-08-30 12:45:24Galerie JACQUES LACOSTE
Après les un passage par les Puces de Saint-Ouen, Guilhem Faget et Alexandre Goult ont ouvert leur galerie à Saint-Germain des Prés, l’autre lieu du Design. Dans leur sélection de luminaires des années 50 à 70, ils présentent des pièces de Maria Pergay, Gino Sarfatti, Pierre Paulin ou de signatures moins connues comme Ben Swildens ou Xavier Féal. Et puis il y a leur chouchou, Claude Morin, dont on retrouve les créations de verre un peu partout dans leurs décors.
La galerie de Quynh et Satoshi Saikusa est un lieu à part : trois salles, des alcôves, des murs aux couleurs sombres, des jeux d’ombres et de lumière … Un véritable écrin, qui prend même parfois des allures de cabinet de curiosités. Les artistes exposés ont tous, eux aussi, un univers fort et bien affirmé : les estampes de Toshio Saeki, les photographies radicales de Daido Moriyama, les peintures métaphoriques de Cendrine Rovini ou celles de Sarah Jérôme, les sculptures de plumes de Lucy Glendinning, les peintures énigmatiques de Markus Åkesson, Mujô-Kan, Davor Vrancic, Matsui Fuyuko … que leurs galeristes confrontent au gré d’expositions thématiques et de Cabinets Da End organisés chaque année.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/07/GALERIE-DA-END-Paris-3.jpg675900Hélènehttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2014-03-20 21:17:412019-08-25 19:14:18Galerie DA END
Dès le début des années 90, Lélia Mordoch commence à exposer les œuvres des artistes du GRAV (Garcia Rossi, Le Parc, Morellet, Sobrino, Stein et Yvaral). De l’art géométrique, à l’art numérique, au Street Art et à l’art Fractal, elle présente tous les médias, papier, peinture, sculpture, vidéo, assemblages et installations. Ses choix réunissent plusieurs générations d’artistes contemporains venus de tous les horizons.
Spécialisée dans des mouvements du 20ème siècle : Dada, Surréalisme ou Nouveaux Réalistes, Natalie Seroussi aime créer des faces à faces, des liens entre l’art moderne et l’art contemporain.
Parmi les artistes de la galerie on retrouve Arman, Jean Arp, Evelyne Axell, John Baldessari, Giacomo Balla, Hans Bellmer, Henryk Berlewi, Jean Charles Blais, Alighiero e Boetti, Erik Boulatov, Victor Brauner, Mathieu Briand, Alexander Calder, Christo, Jean Crotti, Felix del Marle, Jean Dubuffet, Marcel Duchamp, Max Ernst, Malachi Farrell, Luis Fernandez, Julio Gonzales, Raymond Hains, Bernard Heidsieck, Jean Helion, Alain Jacquet, Konrad Klapheck, Yves Klein, Fernand Léger, André Masson, Gordon Matta-Clark, Francis Picabia, Michelangelo Pistoletto, Martial Raysse, Niki de Saint Phalle, Kurt Schwitters, Jesus-Rafael Soto, Vassilakis Takis, Jean Tinguely, Victor Vasarely, Tom Wesselmann, Caliopé Wols.
A Paris et à Miami, la galerie représente des artistes contemporains, actifs dans tous les médias, peinture, photographie, design, vidéo, dessin, installations. Parmi eux, Tali Amitai-Tabib, Cédric Arnold, Jean-Pierre Attal, François Bard, Louis Delbaere, Stéphane Ducatteau, Jorge Enrique, Philippe Huart, Jonathan Huxley, Toma Jankowski, Jérôme Lagarrigue, Alain Le-Boucher, Noart, Aleix Plademunt ou François Ronsiaux.
L’une à Tokyo, l’autre à Saint-Germain des prés, les maisons de thé Jugetsudo sont les gardiennes des valeurs et des traditions de la Cérémonie du Thé. Une expérience zen dans un décor sublime, avec de délicieux thés et infusions.
Joyeux, précieux, acidulés, les bijoux de Marie-Hélène de Taillac sont nos talismans préférés. La créatrice passe six mois par an à Jaïpur où elle choisit ses pierres et les fait tailler par des artisans indiens. Briolettes, tourmalines, calcedoines, elles sont toutes exceptionnelles, et serties de telle manière qu’elles semblent flotter au creux du cou ou sur nos doigts.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2010/06/6a010535e2c97b970b01348586f51f970c-800wi.jpg443623Clémenthttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngClément2013-07-15 19:43:352019-09-03 17:07:15MARIE-HELENE DE TAILLAC
Jusqu’en 1999, Didier et Clémence Krzentowski dirigeaient une agence chargée de mettre en relation des designers et des industriels puis ils ont décidé de se rapprocher du public en ouvrant une galerie de design, d’abord dans le 13ème arrondissement, puis face au succès international de leurs expositions, à Saint-Germain-des-Prés. La galerie produit et présente en exclusivité des créations des frères Bourroulec, de Jasper Morrison, Marc Newson, Alessandro Mendini, James Irvine ou Martin Szekely, mais propose également une sélection de très beaux luminaires d’Ingo Maurer, Gino Sarfatti ou Achille Castiglioni.
Le Labo est loin d’être un parfumeur de plus dans le paysage olfactif, car ses créations ne ressemblent vraiment à aucune autres. Les treize parfums de la marque sont composés autour d’une matière première centrale (vétiver, fleur d’oranger, oud, santal, vanille, patchouli, bergamote, tubéreuse, iris, rose, néroli, jasmin…) dont ils portent le nom, qui est toujours suivi d’un nombre, celui des ingrédients présents dans le parfum autour de cette note de tête.
Le Labo crée aussi un parfum exclusif pour chacune des villes où il est présent : New York (Tubéreuse 40), L.A (Musc 25), Tokyo (Gaiac 10), Chicago (Baie Rose 26), Londres (Poivre 23), Dallas (Aldehyde 44) et bien sûr Paris avec Vanille 44, une Vanille d’un raffinement inégalé. La gamme continue aussi avec des huiles et des lotions pour le corps et une collection de bougies coulées à la main pour la Maison qui sont, là encore, des mélanges inédits.
Mais la surprise n’est pas seulement olfactive, puisque vous aurez aussi la chance d’assister presque directement à la création de votre parfum : dans le Labo, on effectue devant vous la dernière étape de création, le mélange de la composition olfactive, de l’alcool et de l’eau pour que votre parfum soit le plus frais possible, avec pour finir une étiquette à votre nom si vous le souhaitez.
Pascal Cuisinier a ouvert sa galerie à Saint-Germain des prés après un passage par les puces de Saint-Ouen. Deux spécialités pour ce jeune antiquaire : le mobilier des designers français des années 50, Paulin, Leroy, Caillette, Richard, Guariche …, et les luminaires des années 50/70.