Alexandre Biaggi aime créer des univers, des décors. Dans sa galerie, autour des figures emblématiques des arts décoratifs du 20ème siècle, Jean-Michel Frank, André Arbus, Jacques Adnet, Serge Roche, Jean Royère, Jacques Quinet, Ettore Sottsass ou Gio Ponti … il présente le travail de créateurs actuels, Patrick Naggar, Mauro Fabbro, Patrice Dangel, Simone Crestani, dont il édite de nombreuses pièces. En les exposant ensemble, parfois accompagnés d’art contemporain ou d’arts premiers, il crée des points de rencontre inattendus et passionnants.
Le frère jumeau, ou ennemi, du Flore. Seule la rue Saint-Benoît sépare les deux monstres sacrés. Lui aussi, dans la grande tradition germanopratine, a son prix littéraire, créé en 1993, et qui est le premier à être remis en janvier. Alors comment les départager et pourquoi préfèrer l’un à l’autre ? Chacun doit faire selon ses goûts. Peut-être choisirons nous Les Deux Magots pour boire un thé ou un chocolat préparé à l’ancienne et pour sa terrasse au printemps ou même en hiver lorsqu’on cherche désespérément les premiers rayons du soleil.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2011/06/les-deux-magots-Paris.jpg365550Clémenthttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngClément2011-06-16 17:40:252019-09-14 15:29:41LES DEUX MAGOTS
Depuis 1797, ZUBER imprime ses papiers peints, ses tissus et ses cuirs “à la planche”. Ce qui en fait la dernière manufacture au monde à utiliser cette technique datant du 18ème siècle. La Manufacture a conservé toutes ses planches d’origine (classées monuments historiques) et continue de les utiliser pour créer ses décors panoramiques, panneaux décoratifs, soubassements, tissus de velours, d’organza ou de soie. Les thèmes, eux, sont multiples : de la Chine à l’Inde ou Constantinople en passant par les Amériques ou les merveilleux motifs floraux de la France du 18ème siècle.
ZÜBER
3 et 18 rue des Saints-Pères 75007 Paris 01 42 77 95 91
La joaillerie de Marie Poniatowski, la créatrice de STONE est moderne, accessible et facile à porter. Légers et infiniment poétiques, ses bijoux précieux s’apparentent aux ornements de l’époque victorienne qu’elle aime tant. Le diamant, éclatant sans être ostentatoire, souvent traité en taille micro, règne en maître. L’or est façonné comme de la dentelle arachnéenne. Les dormeuses, ces boucles d’oreilles typiques des parures raffinées du XIXème et formées par un élément suspendu sur une tige d’or recourbée deviennent l’emblème de la Maison.
Ses pendentifs, ses bagues et ses bracelets sont inspirés par des souvenirs de voyage, des éléments architecturaux et des fragments de nature, si stylisés qu’ils se transforment en motifs contemporains. La présence de l’or foncé et des diamants noirs confère à certains de ses bijoux une beauté sombre, accentuée par des motifs issus de l’univers de la musique. Entre rock et romantisme, certains vont aussi bien aux filles qu’aux garçons.
STONE
60 rue des Saints-Pères 75007 Paris 28 rue du Mont-Thabor 75001 Paris
Aline Chastel-Maréchal aime le travail des grands décorateurs et des ensembliers du 20ème siècle et c’est dans cet esprit qu’elle présente le travail de Jansen, Jean-Charles Moreux, Line Vautrin, Serge Roche, Jean Royère, Jacques Quinet, Gilbert Poillerat, André Arbus ou Georges Jouve, mais aussi les céramiques d’André Jouve, Valentine Schlegel ou André Borderie.
Des Académies, une Ecole, un style, connus et imités dans le monde entier. L’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts est l’héritière d’une très longue histoire, commencée avec la fondation par Louis XIV des Académies Royales de Peinture et de Sculpture en 1648, puis d’Architecture en 1671. Cette institution est désormais l’une des dernières à abriter sous le même toit un enseignement moderne destiné à la formation de futurs artistes et des collections accumulées au cours de ses trois cent cinquante ans d’existence. Parmi les artistes qui y enseignent, on retrouve les grands noms de l’art contemporain : Jean-Michel Alberola, François Boisrond, Patrick Tosani, Jean-Marc Bustamante, Claude Closky ou Giuseppe Penone, mais L’Ecole possède aussi un immense patrimoine, légué par les Académies royales puis régulièrement augmenté jusqu’en 1968 des travaux de ses élèves (notamment les Prix de Rome). L’exposition des nouveaux diplômés est chaque année un évènement important, notamment pour les galeristes qui y croisent là les prochains artistes dont ils défendront le travail.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/07/ECOLE-NATIONALE-DES-BEAUX-ARTS-Paris.jpg8471280Hélènehttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2011-02-04 00:46:032019-09-06 19:35:59PALAIS DES BEAUX-ARTS
En fidèle petite sœur de la mythique Kitchen Galerie, la deuxième adresse de William Ledeuil en adopte le style et le chef préfère toujours le lait de coco à la crème fleurette, le basilic thaï au persil, et boycotte le beurre, le sel et la farine. A ne rater sous aucun prétexte, les “zors-d’oeuvre”, spécialement créés pour KGB, à partager à deux, trois ou quatre, tous plus succulents les uns que les autres.
KGB – Kitchen Galerie Bis
25 rue des Grands-Augustins 75006 Paris
01 46 33 00 85
du Mardi au Samedi de 12h00 à 14h30 et de 19h00 à 22h30
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/09/KITCHEN-GALERIE-BIS-Restaurant-Paris.jpg506672Hélènehttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2011-01-17 19:38:502022-04-18 20:51:26KiTCHEN GALERIE Bis
Marcel Fleiss a ouvert la Galerie des Quatre Mouvements en 1972 avec une exposition de quarante rayogrammes de son ami Man Ray. Il y présentait des œuvres Dada, surréalistes, pop et hyperréalistes. En 1981 il ouvre la Galerie 1900-2000 où il élargit son champ artistique à d’autres avant gardes (Lettrisme, Fluxus..) et à quelques contemporains (Pol Bury, George Condo, Jean-Michel Basquiat ou encore la dernière exposition de Keith Haring avant sa mort). En 1991, Son fils David le rejoint et développe le département photographie et les collaborations avec des artistes contemporains (Joseph Kosuth et Hiroshi Sugimoto, Sylvie Fleury ou Laurent Grasso). Ensemble ils se consacrent aujourd’hui principalement aux oeuvres surréalistes et dada (Man Ray, Marcel Duchamp, Francis Picabia, Hans Bellmer, Arthur Cravan…) tout en continuant à défendre l’art des années 60 et 70.
Créée en 2002 par Benoit Sapiro, la galerie est située à l’ancienne adresse de la célèbre librairie dont elle a conservé le nom. Depuis plus de 20 ans, Benoit Sapiro s’est attaché à redécouvrir des artistes originaires de Russie ou des pays de l’Est de la première moitié du XXe siècle, qui avaient été un temps écartés du Monde de l’art. Mais petit à petit, au cours d’expositions collectives, d’autres artistes, contemporains, jeunes ou reconnus, européens ou américains sont venus s’ajouter à la liste des artistes exposés, constituant aujourd’hui un fonds d’œuvres important et des expositions collectives ou personnelles souvent originales et passionnantes.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/07/Galerie-Le-Minotaure-Paris-1.jpg7781000Hélènehttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2010-11-07 14:30:362019-09-05 10:47:18Galerie LE MINOTAURE
Dans leur atelier de la rue Jacob, Simon-Pierre, Olivier et leur équipe travaillent essentiellement sur mesure, imaginant, dessinant, puis fabriquant autour de pierres précieuses ou de pierres fines le bijou de vos rêves.
Mais ils ont une autre spécialité, plutôt rare : la création de boutons de manchette uniques. Un bijou que l’on pense trop souvent réservé aux hommes et qui est pourtant si chic sur les chemisiers des femmes.
NOBILIS (is,e) adjectif latin : noble, distingué, de bon goût
Depuis plus de 80 ans, Nobilis édite des collections de tissus et de papiers peints en s’entourant des plus grands designers, mais aussi d’artistes, notamment de peintres, pour être au plus près de la création contemporaine. Aujourd’hui la maison édite aussi des collections de tapis, canapés, mobilier ou accessoires de décoration. L’esprit est toujours le même : Denis Halard, son actuel directeur est très sensible à l’art contemporain et collabore régulièrement avec des artistes
Un salon de thé JUGETSUDO à Saint-Germain des prés, l’autre à Tokyo, tous deux garants des valeurs et des traditions japonaises, dans un décor si harmonieux qu’il provoquerait presque le recueillement. La cérémonie du thé relève ici de l’expérience zen.