Serge Mathieu et son épouse proposent les produits du terroir dénichés chez les meilleurs producteurs un peu partout en France. Sur les planches, les bonnes huîtres (Utah Beach), les meilleures charcuteries (pata negra, bellota, san daniele, pasterma), les vraies terrines (lapin au calvados, à partager, fromage de tête artisanal, boudin noir aux oignons), le thon fumé de l’île d’Yeu, les sardines de Saint-Gué et les filets de maquereaux au wakamé, les meilleurs fromages (burrata di Corato, camembert, chèvre frais et compotée de poire au safran) et bien-sûr pour accompagner tout ça d’excellents vins naturels.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/07/La-Grande-Crèmerie-Paris-Menu.jpg1024819Hélènehttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2016-05-22 06:50:372019-09-13 20:45:18LA GRANDE CREMERIE
Plus de 600 références de vin différentes glanées autour du monde auprès de vignerons indépendants. Et pour les accompagner, confortablement installés au coin de la cheminée, des Assiettes Terre,Mer ou végétariennes : iberico de bellota, burrata di Corato, jambon blanc à la truffe, fromages affinés, saucisson italien aux graines de fenouil ou encore tartare de st Jacques et ceviche de dorade.
Créée en 1926, en même temps que la galerie attenante par Christian Zervos, la Revue Cahiers d’Art était une légende germanopratine. Picasso, Giacometti, Matisse, Léger, Beckett ou Miro y participèrent avant qu’elle ne soit petit à petit délaissée. Rachetée en 2011 par le suédois Staffan Ahrenberg, les Cahiers ressuscitent aujourd’hui au même endroit et dans le même esprit, sous la houlette de Samuel Keller et d’ Hans-Ulrich Obrist, Chaque numéro est bien sûr un collector et on peut ici retrouver chacun d’eux.
Chahan Minassian a tous les talents : il est à la fois architecte d’intérieur, antiquaire, designer et galeriste. Passionné par le mobilier américain des années 30 aux années 60, qu’il a été l’un des premiers à remettre en lumière, il présente dans la galerie de la rue de Lille des pièces de Vladimir Kagan, Paul Evans, Karl Springer, Tommi Parzinger, Paul Laszlo, Philip et Kelvin Laverne, Edward Wormley, Harry Bertoia…
Architecte d’intérieur, il met en scène son style pour une clientèle internationale et des chantiers prestigieux. Il édite aussi des meubles et des luminaires qui reflètent vraiment son univers : Méridienne en bronze, fauteuils gainés de python, lampes en gypse, table basse en parchemin, paravents et rideaux en peaux d’anguille… Des objets et des meubles de collection signés et numérotés.
Mais la galerie présente aussi les œuvres de Nancy Lorenz, de Peter Lane ou d’Antoinette Faragallah, des artistes que Chahan Minassian associe à ses mises en scène ou auxquels il commande spécialement des œuvres pour ses chantiers d’architecture intérieure.
Elle a débuté aux côtés de Jacques Garcia, mais depuis près de vingt ans c’est seule que Florence Lopez lance les tendances, chine partout des meubles rares, crée des décors ou édite ses propres créations, et c’est du coté des années 40, 50 et 60 qu’elle puise son inspiration : Charlotte Perriand, Le Corbusier, Gio Ponti, Alvar Alto, Josef Frank, Mathieu Mategot, Osvaldo Borsani, Angelo Lelii … La liste serait trop longue à dresser pour qu’elle soit exhaustive et d’ailleurs elle évolue sans cesse.
Pour elle, deux façons de travailler : Elle collabore régulièrement avec des décorateurs et des architectes d’intérieur sur des projets, mais surtout elle présente ses meubles dans les décors qu’elle créé environ tous les deux ans dans son atelier d’artiste germanopratin, un lieu insolite perché touten haut d’un immeuble XVIIème. Elle crée ici des mises en scène où le mobilier qu’elle chine et ses propres créations côtoient des œuvres modernistes ou encore le travail d’artistes avec lesquels elle collabore régulièrement.
Georges-Philippe et Nathalie Vallois sont des passionnés, des galeristes qui travaillent avec leurs artistes sur le long terme. Ils ont été les premiers à consacrer des expositions personnelles en France à Alain Bublex, Gilles Barbier ou Paul MacCarthy, qui sont aujourd’hui exposés à travers le monde. Parmi ceux dont ils défendent le travail, des artistes très reconnus mais aussi de plus jeunes qui avancent à pas de géants : Boris Achour, Pilar Albarracin, Matthew Antezzo, Julien Berthier, Julien Bismuth, Mike Bouchet, Massimo Furlan, Richard Jackson, Adam Janes, Martin Kersels, Vincent Lamouroux, Saverío Lucariello, Jeff Mills, Joachim Mogarra, Arnold Odermatt, Keith Tyson, Jacques Villeglé, Olav Westphalen, Winshluss et Virginie Yassef. Chacun d’entre eux bénéficie d’une exposition personnelle tous les deux ans.
Le plus connu de tous. Lieu de prédilection dans les années 30 des Surréalistes, des éditeurs, des artistes et des cinéastes, il devient après guerre le quartier général des existentialistes : Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Boris Vian, des écrivains et des artistes, Ernest Hemingway, Juliette Gréco Brigitte Bardot, Roman Polanski, Françoise Sagan ou Romain Gary et du monde de la mode.
Aujourd’hui, la clientèle est toujours un mélange subtil d’artistes, d’écrivains, d’intellectuels, de politiques et d’anonymes. Francis Ford Coppola dit qu’il rêve d’habiter Paris pour prendre chaque matin son petit-déjeuner au Flore, et chaque année depuis 1994, le Prix de Flore récompense un jeune auteur au talent prometteur.
https://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2012/11/CAFE-DE-FLORE-3.jpg465700Hélènehttps://germanopratines-staging.ovh/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2015-11-19 19:14:002022-04-18 12:36:22CAFE DE FLORE
Un chocolatier exceptionnel pour de véritables expériences gustatives : Pierre Marcolini nous emmène en voyage, du Mexique à Madagascar, du Vénézuela à l’Ile de Java et de l’Equateur au Ghana. Des créations réellement subtiles qui rendent addict tout amateur de chocolat.
La plus ancienne manufacture cirière du monde (1643), Manufacture Royale au savoir faire ancestral, fabuleuse ! Ici pas de parfums identifiables au premier coup de nez, mais des mélanges uniques qui revisitent chacun un moment de l’histoire et mettent en lumière la petite légende du goût à la française : Empire, Pondichéry, La Marquise, Chandernagor, Odeur de Lune, Odalisque ou Carmelite, Empire, Dada …
Et aujourd’hui une collection de cinq eaux de parfum, conservées dans de précieux flacons, aux fragrances originales et capiteuses, imaginées par les parfumeurs Antoine Lie, Yann Vasnier et Lyn Harris : Bruma, Olim, II, Révolution et Mortel. Des parfums qui, eux aussi, racontent toute une histoire.
La déco pourrait nous laisser penser que nous allons manger un hamburger typiquement new yorkais, mais pas du tout, à l’Altro, on vous concocte une vraie bistronomie transalpine, une cuisine italienne à la fois authentique et originale, et on vous trouvera toujours une petite place même s’il est conseillé de réserver.
François Laffanour est une figure majeure du marché du design. Après avoir passé quelques années aux Puces, il monte sa galerie au début des années 80 et dès lors les meubles d’architectes européens et américains deviennent son fer de lance. Ces designers comme Charlotte Perriand, Jean Prouvé, Le Corbusier, Jeanneret, Ron Arad, Choï, Georges Jouve, Serge Mouille, George Nakashima, Jean Royère, Ettore Sottsass ou Takis, qui, dès le lendemain de la seconde guerre mondiale, ont apporté une autre conception dans l’art de se meubler.